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Publié par Rene Dumonceau

La peur de l'abandon, l’abandonnophie

Angoisse de se retrouver seul(e) du jour au lendemain, certitude que l’on ne mérite pas d’être aimé, manque de confiance en soi… La blessure de l’abandon ruine les relations de ceux qui en souffrent comme moi et nous met dans le doute de tout.

Manque de confiance en soi, impression de ne pas mériter d’être aimé, dépendance affective ou rejet des relations de proximité pour se protéger, la peur de l’abandon fragilise ceux qui en souffrent. «C’est surtout à travers leurs relations affectives que les personnes vont se rendre compte de cette blessure».

Persuadés qu’ils ne méritent pas d’être aimés parce qu’ils ont été abandonnés dans leur enfance, ces personnes n’arrivent pas à se donner de l’amour mais exigent de leurs partenaires qu’ils les aiment toujours plus.

 

On l’appelle peur, sentiment, blessure, ou syndrome. Les noms changent et les symptômes varient en fonction de la sensibilité, mais l’origine est toujours la même : une séparation dans la petite enfance vécue comme un abandon.

De plus en plus de personnes semblent concernées. Serions-nous une génération d’enfants abandonnés ?

Quand on souffre de peur d’abandon avec angoisse, on va interpréter toutes les situations interpersonnelles sous la grille de l’abandon.

Les réseaux sociaux viendraient multiplier le nombre d’événements anodins qui rappellent la blessure originelle.

Toutes les relations virtuelles exacerbent cette insécurité que nous pouvons tous avoir. On est toujours en attente d’une réponse à un message ou à un like. On a l’impression que ce like va nous rassurer, mais il ne fait qu’accentuer le sentiment d’abandon car au fond ce n’est pas de ça dont nous avons besoin.

 

    

 

Aujourd’hui j’en prends conscience et j’ai décidé de changer et d’arrêter ce processus infernal. Je ne sais pas encore comment , mais chaque pensée et geste envers l’envie de ne pas me gâcher l’existence avec ça sera un pas positif en avant.

Si vous êtes comme moi, dites-le et pourquoi pas, aidons-nous les uns , les autres !

Arrêter l’anticipation négative, arrêter de trop réfléchir et de créer des scénarios noirs qui n’existeront pas et qui compromettent les relations, être toujours autant positif, et avancer un jour à la fois en pensant plus à nous-même qu’au bien-être des autres à qui l’on s’accroche pour ne pas se sentir mal-aimé.

Source : Publié le 5 novembre 2018 par mademoiselle40ans.com

Relayé par René Dumonceau

Vous pouvez partager cet article à condition d’en respecter l’intégralité et d'en citer la source (URL de l'article + identité de l'auteur). Utilisez toujours votre discernement par rapport à ces écrits. Vous avez un Libre-Arbitre, alors utilisez-le et surtout, écoutez ce que vous dicte votre coeur. Lui seul détient votre vérité, laissez-le vous guider.

 

 

 

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P
J'aime bien que vous faîtes le lien avec notre relation avec le net. Bravo!
Répondre
R
Merci pour votre commentaire. Je ne suis pas l'auteur de l'article mais il m'interpelle, raison pour laquelle je l'ai relayé. Coeurdialement.