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MENTION

 


 

Publié par Rene Dumonceau

violence-violence-que-s-est-il-donc-passe

 

Je me souviens d'une époque où la violence n'était pas aussi coutumière qu'aujourd'hui. Je me souviens d'une certaine sérénité à vivre. Oh bien sûr, il y a toujours eu des fous, des dangereux, mais malgré tout, on pouvait sortir jouer très tard dans la rue, nos camarades filles pouvaient se promener, sans être trop inquiétées ni craindre d'être attaquées ou violées. Et si elles essuyaient parfois quelques coups de sifflets inélégants à leur encontre, ma foi, bien que moyens dans la démarche, ils ne faisaient que marquer le fait qu'on les trouvait jolies. Elles pouvaient aller en mini jupe à l'école, on ne les agressait pas, même si on trouvait leurs jambes et leurs formes bien attirantes. Non, il existait un contrat tacite entre elles et nous, comme entre les garçons et si des bagarres éclataient, elles n'étaient pas aussi graves ni nombreuses que maintenant, et souvent, quelqu'un intervenait pour y mettre fin.

Nous sommes très loin de tout cela.

On n'ose plus faire sortir nos enfants. On se méfie la nuit, on craint toujours des moments délicats, l'agression...

Nos filles redoutent l'agression à tout instant et, si je vis aujourd'hui en province, en région rurale, le danger existe, certes peut-être de façon moindre qu'en agglomération, mais il existe néanmoins.

Que s'est-il passé ?

J’ai ma réponse, elle vaut ce qu'elle vaut !

Tout a commencé, je crois, par ce qui nous a nourris il y a 50 ans. BD, romans, films, musiques...

 

La musique

Je n'écoute pas la radio, elle ne véhicule que crétinerie et de désinformation.

Les chansons de mon époque ont disparu des ondes mais parfois, j'entends ici et là quelques musiques... Quelles sont-elles ? Dans un premier temps, elles sont uniformes musicalement et sans saveur à quelques rares exceptions.

Anglo-américaines dans l'inspiration et la forme. La techno est une musique brutale qui exacerbe les sens... Le rap parle de viols, de soumission des femmes, de violences, de haine raciale contre l'ordre, quel qu'il soit.

Mon époque diffusait des chansons d'amour, de la joie de vivre, du refrain qu'on écoutait et qu'on retenait. Nous en sommes loin. Il y avait de la tendresse, de l'amour, de la tristesse, parfois de la colère, mais rien dans l'obscénité, la transgression et la violence.

Parfois on entendait des grossièretés à la façon de Pierre Perret, mais c'était plus dans une dynamique de comique que d'agression. Nos rebelles étaient les Stones, ACDC, Deep Purple ou Cooker, mais on n'était pas dans la démesure comme aujourd'hui. Nous avions encore les slows qui nous réunissaient, femmes et hommes, dans des moments de tendresse et de lascivité. Ils se jouaient en fin de boum, de soirées, après quelques rocks et variétés remuants. Le son calme nous apaisait et c'était bien.

J’ai eu la malchance ces dernières années de me retrouver dans des soirées, ce n'était que bruits qui vous pénétraient le corps à grands coups de boum boum terrifiants qui vous faisaient exploser la tête et vous donnaient envie de gerber. Mélangé à l'alcool et la fumée, je ne vous dis pas les dégâts.

J'avais fait une fresque dans une boite de nuit, près des hauteurs de Cajarc ainsi qu'en région parisienne : les patrons m'avaient dit que la violence générale avait été multipliée par 100 en 30 ans.

Cherchez l'erreur !

 

La BD

Je ne devrais pas en parler ici, mais je me fous des vannes qu'on va me lancer.

Mon époque diffusait des bandes dessinées en qualité de tous niveaux et en quantité assez modeste. Nous pouvions dessiner à peu près ce que l'on voulait, et le "ce qu'on voulait" était généralement des seins et des paires de fesses de femmes et des scènes de sexe. Bref, on galéjait, mais on était sages.

Aujourd'hui, il y a dans les BD de la violence à toutes les pages : têtes tranchées, éviscérations, viols à n'en plus finir, hémoglobines, sodomies contre nature, pédophilie à peine déguisée, malsaine et violente, sadisme, bestialité en-veux-tu en voilà.

Que s'est-il passé pour en arriver là ?

Comment voulez -vous que nos enfants nourris au quotidien avec ces formes de lectures ne deviennent pas accrocs et habitués à une certaine violence ? Elle fait partie de leur normalité et c'est très grave.

Je ne développerai pas, je risquerais de me faire des ennemis. Mais notre génération fut nourrie à des Pifs, Tintin, Spirou, Mickey qui portaient de vraies valeurs avec de vrais héros. La BD devenait rebelle et adulte avec des journaux comme Pilote ou Métal Hurlant, Hara- Kiri... Arrivait La SF à l'américaine qui à l'époque était sympa et amenait une violence presque esthétique grâce à des auteurs de talents comme le king Kirby ou Buscema, mais si les héros et les vilains se tapaient dessus, il n'y avait jamais de sang !

D'Espagne et d'Italie arrivaient à petites doses sournoises des BD érotiques et hélas, avec les "fumetti", quelques BD violentes et sanglantes où les viols étaient coutumiers. Nous sommes alors dans les années 80 et je pense aux éditions Elvifrance qui ont fait recette sur ces tableaux...

Mais, il y a un mais, c'étaient des BD que ne pouvaient pas acheter les enfants. Les libraires étaient vigilants sur ce sujet. Combien de fois je me suis vu interdire l'achat d'un Maghella ou Blanche Neige de Frollo parce que je n'avais pas 21 ans ?

Qu'est devenue notre pauvre bande dessinée, ou du moins une partie ? Je me le demande. J’ai proposé récemment des BD d'amour et romantiques à des éditeurs qui ont ricané et proposé dans mes scénarios d'y mettre quelques "pages de cul" et d' "actions" (comprenez hémoglobine). Je tiens les lettres à disposition si on ne me croit pas. Bon, j'avoue, elles ont brulé ... (NDRené : en mars 2021, la maison de l'auteur de cette nouvelle, JAAP de Boer a été sinistrée par le feu).

 

Quant au cinéma, alors là, le pompon du pompon

Là aussi, viols dans presque tous les films, carnages et violences.

La pauvreté des scénarios est contrebalancée par de l'ultra violence "hard boiled" où la psychologie et la profondeur de caractère des personnages elle aussi, a laissé place à du gros calibre et des sabres, des fusils mitrailleurs qui déchiquettent (au ralenti pour mieux voir) fillettes, enfants, vieillards et tutti quanti..

Je me souviens qu'à mon époque des films comme l'Exorciste ou l'Agression avec Deneuve avaient fait scandale malgré qu'à l'affiche ils soient interdits aux moins de 18 ans. La Horde sauvage de Peckinpah avait été retirée des salles pour ultra violence. Pourtant ce n'étaient que des adultes pour aller les voir.

Souci : aujourd'hui la TV, ou les TV, sont rentrées dans les foyers et les chambres des gosses. Ils regardent des têtes coupées et des viols comme on regardait un dessin animé de Mickey ou de Satanas et Diabolo.

J’ai souvenir de mon gardien d'immeuble quand j'habitais Paris qui passait en boucle à son fils de 4 ans ROBOCOP 1. Souvenez-vous, il ne faisait pas dans la dentelle ! A 5 ans, je n'avais pas la TV, je ne l'ai eue qu'à 10 et il n'y avait pratiquement aucun programme. De plus, le téléviseur, gros comme une armoire, en noir et blanc, trônait dans le salon et c'étaient les parents qui géraient si ce que l'on regardait était convenable ou non à nos jeunes yeux...

Que sont les parents devenus, comme aurait dit Rutebeuf, je crois le vent les emporta...

Quand on sait quand même que 65% des enfants de moins de 6 ans ont un téléviseur dans leur chambre, sans contrôle parental, il y a de quoi se poser des questions ! Non ?

De plus, comme si cela ne suffisait pas, on a inventé le téléphone portable, appareil à cons et tous les gamins à partir du CM possèdent le leur et vont se balader sur internet où la pornographie est sans limites.

 

La pornographie

Soyons sérieux, je ne suis pas un moine. J'y ai eu accès grâce à des revues que mes frères achetaient, Play Boy ou Lui.. Bref, de la revue plutôt érotique. On s'échangeait éventuellement des cartes de jeux en classe et en récré, cartes où des filles montraient leur nudité et cela nous échauffait indéniablement et nourrissait notre libido, mais nous apprenions aussi la patience, celle qui nous ferait aller voir et découvrir l'interdit des grandes personnes.

Je n'ai pu voir un film porno qu'à 18 ans car la TV n'en diffusait pas. Il fallait aller au cinéma pour les voir. Vous pensez bien qu'aucun enfant n'accédait à cet antre démoniaque.

Aujourd'hui ? Ils en ont tous vus au moins un, et encore ! C'est par dizaines qu'ils en ont matés ! Quand on voit ce qui est véhiculé au niveau de l'image de la femme on peut s'effrayer.  Adulte, on peut faire la part des choses, mais enfant, puis ado, quels repères a-t-on ?

Quant à ce que je voyais dans les années 70/80 et ce que l'on montre aujourd'hui ! putain il n'y a plus de comparaison. Nous avions droit à des copulations avec des musiques new âge avec quelques gros plans chirurgicaux, des pipes et rarement, très rarement, une sodomie ou une éjaculation.

Aujourd'hui, c'est la norme et pire le gonzo est arrivé ! Gang bang, double et triple pénétration, triple sodomie, bukkake, bestialité, scatologie, urologie... On nage en pleine dégueulasserie !

Où sont nos Brigitte Lahaie et plus tard nos Tracy Lords et Sandra Scream, Deirdre Holland que j'ai eu la chance de dessiner lorsque j'œuvrais pour Hot Video ? C’étaient des nonnes en comparaison !

Là encore, que s'est-il passé ?

 

Le roman et la littérature

Non contents de produire de la médiocrité, là encore les chers éditeurs, complices de ce mercantilisme intellecto/goujatier nous ont pondu des merdes à n'en plus finir. Un bon polar doit avoir là encore viols et éviscérations. Un roman doit parler de ses abus sexuels quand on était enfant, des problèmes avec sa mère (même si l'on n'est pas juif comme disait Freud, juif lui-même qui savait de quoi il parlait) et avec de menus détails, de préférence !

Toute œuvre se doit de contenir un langage ponctué de "connasse", "con", "enculé", "baise", "foutre" et "trouduc"! Là, il y a une chance d'avoir un Renaudot ou le Femina !

A mon époque on se cognait les grands classiques et le livre était publié de manière raisonnable ! Nos héros étaient des gens qui avaient une vie digne, du courage, des valeurs, de la morale : D'Artagnan côtoyait le Comte de Monte Cristo, Robinson Crusoé, Lagardère, le Mouron rouge étaient sur les mêmes étagères et Zola, Balzac, et tous les grands romanciers trouvaient leur place dans nos maisons et dans nos conversations !

Nous avions de la SF et du fantastique. Burrough et son Tarzan, Conan Doyle et son Sherlock nous faisaient découvrir d'autres univers où la violence perlait, mais n'était pas outrageusement mise en avant. On savait faire dans la subtilité à cette époque.

Aujourd'hui, nous sommes engloutis, comme par un tsunami, de merdes qui bousillent des hectares de forêts en toute inutilité. Nous sommes abreuvés jusqu'à satiété de conneries, mais qui sont, parait-il "géniales" parce que dans le "parler-vrai". Les héros sont des salauds, les femmes des garces vénales, tout le monde se vautre dans l'immondice, l'immoralité et le sans-gêne le plus total, on tue comme on mange un œuf, on agresse comme on se rase et on se balade généralement avec un glok et un uzi, comme moi je me promène avec ma boite d'aquarelle !

Quand j'ai proposé mes poésies à des éditeurs de poèmes, on m'a dit, à leur lecture, que j'avais copié sur ce que faisaient les anciens poètes : du lourd, du grandiloquent, de l'ampoulé, bref du nul ! C'est qu'au XIXème siècle, les écrivains en faisaient trop !!!! Non, en poésie aujourd'hui, il faut que saucisson rime avec gros con, puisse avec ouvre tes cuisses et espiègle avec règles (abondantes de préférence). Là, on peut être édité !

Que s'est-il passé ?

Comment voulez-vous que nos gosses, ceux de banlieues, puissent être sains de corps et d'esprits, aux vues des merdes qu'on leur donne au quotidien ?

Nous avions nos héros, ils n'en ont plus, à part ceux des séries, américaines comme par hasard, où là encore il y a des meufs qui se font sauter et sodomiser dans des univers de dragons, où l'on balance de l'inceste, des séries où les serials killers sont des héros, les gays sautent tout le monde et critiquent les femmes, le mec bien se fait défoncer la gueule et la jeune femme pure devient une salope ou se fait torturer..

Je vais même un poil plus loin dans mon raisonnement et certains pourront y voir un côté raciste, voire réac. Je les emmerde par avance s'ils ne voient que cela dans ma réflexion. Mais je suis rassuré, ils n'iront jamais aussi loin dans mon texte : Les jeunes de nos cités, les beurres, les blacks, les immigrés, tous ces jeunes désœuvrés, sans foi ni loi, qui se tournent vers la barbarie et l'agressivité, l'injure et la terreur, qu'ont-ils comme références et comme modèles ? Où sont leurs héros ? Où sont les Tazieff, les Bombard , les Monnod, les Henri de Monfreid, les Isabelle Behrardt (j'ai dû faire une faute), les Alexandra David Neel ? Ils ne les connaissent pas et imaginent à leur nom que ce sont soit des footballeurs ,soit des actrices hollywoodiennes. Oui, parce que les footeux sont devenus leurs héros ainsi que les chanteurs de Rap.

Leurs modèles ? Des personnages qui jouent dans des séries ou des films de cons où il y a 100 assassinats horribles à la minute. Et puis il y a les jeux vidéos où l'on tient une arme et où l'on gagne des points et des vies supplémentaires à chaque personnage qui se trouve en face et que l'on déglingue.

Je me souviens de mes premiers jeux : Civilization ou Âge of empire. Je refaisais le monde et je réfléchissais à la stratégie à suivre pour gagner. J’ai toujours joué la Russie !!! Je développais mon commerce, mes connaissances, mon potentiel militaire et je me développais le plus vite que je pouvais en observant les autres joueurs (et non pas ennemis).

Du coup, comment voulez-vous que des gamins déracinés intellectuellement ne trouvent plus leur place que dans des dogmes religieux imbéciles qui humilient les femmes et tuent l'ennemi comme dans leurs jeux, ne soient pas ultras violents sans que cela n'effleure leur morale ?

Et puis je fus nourri, gamin, à des jeux autres que vidéos. Qui connaît dans les jeunes générations les jeux du "nain jaune", de la "belote", des "osselets", du "pouilleux", du "8 Américain", du "tarot" ? Qui aujourd'hui à 14 ans sait jouer à cela ? Tout petit, mon frère m'initia aux échecs, dans la cité ouvrière où nous habitions. Nous étions quelques-uns à y jouer. Aujourd'hui, quel enfant joue aux échecs : 1 sur 80 ? Et encore ?

Que s'est-il donc passé ?

 

A qui profite toute cette violence et cette insécurité

Alors, parce qu'il me faut finir quand même, même si j'ai encore envie de dire beaucoup de choses, je crois qu'il y a une volonté politique derrière toute cette violence et cette insécurité.

Elle les arrange, ils la nourrissent !

Pourquoi donc ? Réfléchissons ensemble !

Une société qui se sent menacée n'a envie que d'une chose : qu'on la protège. Et comment la protéger si ce n'est avec des bataillons de flics aussi cons qu'une brouette sans roue !

Ainsi naît une société qui se dirige lentement mais sûrement vers une dictature, douce pour commencer, et certainement par un régime militaire où tout homme n'aura plus le droit de penser. Seules quelques élites y auront droit !

Rendre les gens cons et abreuvés de violence est intéressant à plus d'un titre : peu de choses suffisent pour qu'ils s'entretuent entre eux au moment choisi par les élites... C'est tellement facile... Comme on entretient le chômage pour faire accepter aux gens des boulots sous-payés, on entretient la violence pour inonder de flics et de caméras de surveillance, notre quotidien.

On colle de force des masques sur la gueule des gens qui en redemandent à cor et à cri ! (Le festival BD d') Angoulême cette année fut très révélateur, 1 personne sur deux, alors que cela n’était pas obligatoire, portait la muselière à soumission !

Rajoutons à cela l'école qui parle de films plutôt que de livres, j’ai, à ce sujet, une savoureuse anecdote : Ma fille bercée par les lectures que je lui ai imposées avant qu’elle ne les demande, qui a voyagé en Angleterre avec nous, sur les lieux des poètes gothiques, les Shelley, Byron, les sœurs Brontë, etc… s’est vue refuser en terminale, de faire un exposé sur la structure du roman gothique en littérature. Sa prof a dit que la série Twilight serait ce qui serait étudié dans le cours de français !!!

On voit ce qu’est devenue la littérature.

On sucre le grec et le latin, on va à priori, dans les dix ans, supprimer la philosophie, on ne pénalise plus les fautes de langage, de grammaire et d'orthographe, qui déverse des connaissances historiques, sans chronologie, pour que les enfants ne sachent plus rien... et ainsi, l'on a fait le tour de la question...

Que s'est-il donc passé ?

 

Il y a eu un instant, une fugitive seconde... où l’humain aurait pu choisir entre deux voies, l’élévation ou le scratch dans le mur !

Il a choisi, celle de la connerie, de l’abandon du langage, de la réflexion.

Il a demandé la violence, la vulgarité, l’abâtardissement généralisé, la soumission vulgaire, la conformité impersonnelle, bref, une violence s’est abattue sur lui qu’il n’a pas vue et qu’il réclame désormais au quotidien !

Le con !

Source : Nouvelle publiée le 22/03/2022 par Bruno Bouteville dit Jaap de Boer.

Relayée par René Dumonceau avec le consentement de l'auteur.

 

Jaap de Boer, de son vrai nom Bruno Bouteville, né le 6 juin 1959 à Barbezieux-Saint-Hilaire (Charente), est un dessinateur français de bandes dessinées, imprimeur, illustrateur, photographe, romancier, auteur de nouvelles. Jaap de Boer monte à Paris avec ses parents et ses trois frères et sœurs en 1964. Indiscipliné, il suit après le BEPC un cursus en imprimerie. Il obtient un BEP à Montereau en Seine en Marne. Après quelques tentatives professionnelles guère concluantes en 77 et 78, il décide de se lancer dans la BD. Il s'inscrit en 1983 à l'école du Louvre et suit des cours, en auditeur libre, d'études comparées des mythologies. En 2008, il passe une licence en arts plastiques à l'université de Rennes1.

Si très tôt il se passionne pour le dessin, ce n’est pas au détriment de l’écriture. Ainsi, depuis 1985, il publie dans diverses revues françaises et étrangères et sort une trentaine d’albums de bandes dessinées et d’ouvrages illustrés. L’aquarelle est une seconde passion. Il expose en France et à l’étranger. Mais Jaap publie aussi des romans et opus de poésies qui traitent de sujets sombres, mélancoliques et dont les influences rappellent étrangement ces auteurs victoriens, tels Byron ou Shelley, qui le fascinent.

Lisez la suite sur WikipédiaRetrouvez Jaap sur Instagram et sur Facebook.

 

   

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Avant de recevoir des enseignements énergétiques et/ou spirituels, il est bon d'avoir la capacité de les recevoir et d'en profiter à leur juste valeur. Si vous avez fait des IVG, fausses couches, si votre corps présente des cicatrices physiques et/ou si vous avez des blocages émotionnels, il serait souhaitable de vous "remettre en bon état" avant de continuer à avancer sur votre chemin de développement spirituel. Vous y aider, je peux le faire. Cliquez sur la photo et lisez l'article, vous comprendrez ce que je veux dire. Coeurdialement. René.

 

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René Dumonceau

Conseiller en Développement Spirituel

Révélateur du potentiel énergétique et intuitif de chacun 

Canalisateur du Reiki Verseau

Cet article peut être partagé en toute liberté pourvu qu'il ne soit pas coupé, que son lien de provenance et le nom de son auteur soient renseignés.

Je publie des articles qui sont, à mon sens, aidants et riches de signification pour le chemin de développement personnel de chacun mais vous êtes libre d'adhérer ou non. Vous avez un libre-arbitre, alors usez de votre discernement et écoutez ce que vous dicte votre cœur car lui seul connait votre vérité. 

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S
Merci pour votre clairvoyance René.. entièrement d'accord avec vous.. ces dernières années ont été la chronique d'une violence annoncée.. nos enfants ne connaissent plus l'insouciance ni les frissons de leurs 1eres amours .. triste Monde qu'est devenu le notre
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R
Merci pour votre commentaire, Stef mais je n'ai fait que relayer une nouvelle du dessinateur de BD Jaap de Boer que je trouvais intéressante. Merci de lire les articles de mon blog. Coeurdialement.