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MENTION

 


 

Publié par Rene Dumonceau

L’âme conserve l’empreinte des traumatismes des vies passées

 

«Lorsque j’étais quelqu’un d’autre» Voici le titre du dernier opus de Stéphane Allix. Le journaliste nous livre sa nouvelle enquête aux frontières du réel, riche en enseignements. 

 

 

-De quoi parle votre livre ?

-Stéphane Allix : C’est une enquête très personnelle et totalement inattendue. Tout commence lorsque j’éprouve le besoin de faire un bilan sur ma vie. A cette époque, je frôle le burn-out et je prends la décision d’effectuer une retraite, loin du monde, durant plusieurs semaines. Seul.

Je compte travailler sur moi et méditer afin d’y voir plus clair dans mon existence.

Lors d’un rêve éveillé, allongé sur mon lit, je vis alors une expérience incompréhensible. Les yeux fermés, laissant mon esprit vagabonder, je suis propulsé dans une scène de la seconde guerre mondiale : des SS avancent derrière des chars. Soudain, l’un d’eux dont je «sais» qu’il s’appelle «Alexander Herrmann» meurt frappé par un éclat d’obus à la gorge. Je perçois qu’un lien très fort m’unit à cet homme, c’est extrêmement net.

D’autres informations surgissent : son grade, lieutenant, son âge, 25 ans, des scènes de sa vie, comme si j’assistais à la projection d’un film. L’émotion me submerge, je ne comprends rien.

 

 

-Vous avez été comme propulsé dans un autre espace temps ?

-Non. Etant très rationnel, je pense qu’il ne peut s’agir que du fruit de mon imagination. D’un message de mon inconscient qu’un psy pourrait m’expliquer. Je suis tout de même troublé, quand, à mon retour, je découvre sur internet qu’un homme portant ce nom, ce prénom et le même grade dans la SS a réellement existé !

 

- Qu’est-ce qui vous pousse à vérifier son existence alors que ce n’est pour vous que de l’imagination ?

-La curiosité, je suis journaliste. Pourtant, malgré cette découverte, je continue de penser qu’il s’agit d’une coïncidence troublante et m’en désintéresse.

Il va s’écouler de longs mois avant que l’intuition de fouiller plus profondément me pousse à enquêter. Je rencontre un historien français spécialiste de la seconde guerre mondiale qui m’informe que de très nombreux dossiers militaires d’officiers SS sont encore accessibles.

Nous avons la surprise de découvrir, aux archives de Washington, que celui du «lieutenant Alexander Herrmann» existe et comporte plus d’une centaine de documents.

Lorsque je réceptionne ces archives, son acte de décès me foudroie littéralement : Alexander Herrmann a été tué exactement comme je l’ai vu, d’un éclat d’obus dans la gorge !

Dès lors, si je veux rester cartésien, je ne dois plus m’accrocher à l’idée d’un simple hasard. Il faut que j’enquête !

 

Le portrait d'Alexander Herrmann fourni par les Archives nationales allemandes.
Le portrait d'Alexander Herrmann fourni par les Archives nationales allemandes. © BUNDESARCHIV

 

-Quelle est votre première réaction ?

-La stupeur. Pourquoi m’arrive-t-il une telle expérience ? Qui est cet homme par rapport à moi ? Pourquoi ai-je perçu toutes ces informations à son sujet ? Je dois découvrir le secret qui se cache derrière cette rencontre.

 

-Vous enquêtez alors pendant plus d’un an…

-Et je découvre encore plus de similitudes entre mon rêve éveillé et la vie de cet homme tué en 1941 sur le front russe, comme l’existence d’une petite fille…

 

-Combien de temps avait duré cette vision ?

-Plusieurs dizaines de minutes. Dès que l’expérience s’est arrêtée, je l’ai aussitôt notée dans le journal que je tiens depuis des années.

 

-Vous êtes un ancien reporter de guerre. Ce rêve conscient n’est pas très éloigné de vos propres souvenirs, ne peut-il pas y avoir confusion ?

-C’est différent. Je n’ai jamais vécu de telles scènes. Certes, depuis toujours, je suis fasciné par la violence et la guerre. C’est pour cette raison que je suis devenu journaliste. Je voulais comprendre pourquoi les humains peuvent s’entre-tuer.

C’était si impérieux qu’au lieu de passer mon bac et de m’amuser comme tous les copains, je suis parti en Afghanistan rejoindre les Moudjahidines afin d’apprendre le reportage de guerre sur le terrain. J’avais 19 ans.

C’est aussi pour ça que je me suis lancé dans cette enquête. Je ne l’aurais pas faite si ce personnage n’avait rien de commun avec moi. Là, je «rencontre» un homme qui fait partie d’un des régimes les plus abominables que l’humanité ait porté.

Or, depuis l’enfance, je suis obsédé par la question du mal et hanté chaque nuit par des rêves de violence ! Je suis à l’opposé de la pensée abjecte de cet homme mais j’ai la sensation que nous partageons des cauchemars communs.

 

-Etes-vous sa réincarnation ?

-Comment répondre à une telle question ? En faisant cette «rencontre» avec Alexander, tout à coup, j’ai l’impression que ce poids incompréhensible vient de prendre un visage.

Je réalise l’origine possible de mes cauchemars.

Non, ce n’est pas moi qui ai fait des choses horribles. Moi, je suis quelqu’un de bien.

 

Dachau, le choc. © STÉPHANE ALLIX / MAMA ÉDITIONS

Dachau, le choc. © STÉPHANE ALLIX / MAMA ÉDITIONS

-Une dissociation s’est donc produite en vous ? Ce n’est pas désagréable ?

-Cette expérience et mon enquête ont été à la fois compliquées à vivre mais aussi libératoires. Quand je me suis rendu dans le camp de Dachau où cet homme a été en garnison quelques temps, des sentiments insoutenables m’ont traversé.

Je m’effondrais. Mais cela m’a aussi permis de mettre en lumière ce que je ne suis résolument pas : lui.

J’ai hérité de ses émotions, d’une culpabilité et d’une tristesse insondables, mais pas de ses idées infâmes.

Mon métier de journaliste est sacré en ce sens qu’il offre aux gens des outils d’information pour penser par eux-mêmes. A l’opposé de ce que faisait la propagande du régime nazi et son bras armé, la SS.

 

Toute cette expérience m’a en outre révélé combien les vivants peuvent guérir les morts

Stéphane Allix

-Alexander ne pourrait-il pas être votre part d’ombre ?

-D’une certaine manière, oui. Le Dalaï Lama dit que, dans nos vies passées, nous avons déjà fait l’expérience de toute l’humanité : on a déjà été tortionnaire et victime, sage et esclave.

Toutes ces mémoires sont en nous. Je l’ai ressenti. C’est d’ailleurs ce qui m’a décidé à écrire ce livre : cette histoire concerne tout le monde. Il y a eu 60 millions de morts pendant la 2de guerre mondiale.

Il y a 80 ans à peine, des êtres humains civilisés ont commis l’impensable.

Où sont passées cette violence, cette haine, cette colère, cette peur ?

Elles n’ont pas disparu et peuvent être réveillées au gré des circonstances, comme les récentes élections. Heureusement, tandis que des policiers français, durant l’occupation, participaient à la déportation des juifs, d’autres français en sauvaient au péril de leur vie.

 

Dans la forêt amazonienne. C’est ici que se produit la « rencontre ». © STÉPHANE ALLIX / MAMA ÉDITIONS

Dans la forêt amazonienne. C’est ici que se produit la « rencontre ». © STÉPHANE ALLIX / MAMA ÉDITIONS

-Tout le monde porte donc en soi des vies passées parfois terrifiantes ?

-Selon moi, chacun porte en héritage les souffrances et les secrets de sa famille biologique mais aussi les mémoires d’individus du passé. Comme si nous participions à une «lignée spirituelle».

Est-ce la réincarnation ? Les mots sont réducteurs. Mais nous sommes tous capables de nous connecter à ce monde intérieur. Il faut juste le laisser s’exprimer en nous.

 

-Comment distinguer les pensées nées de notre imagination de celles issues de la réalité spirituelle ?

-Par des pauses dans nos vies trépidantes. Ces moments offrent des occasions de connexion à une réalité spirituelle dont nous sommes inconscients.

Dans nos rêves, notre état cérébral est plus disponible pour capter ces énergies subtiles. Mais on ne s’en souvient pas nécessairement au réveil. Sauf quand il s’agit de rêves troublants qui nous laissent une impression étrange de réel.

Dans notre monde occidental, on se pense cartésien en affirmant que le monde spirituel n’existe pas. Or, cette affirmation est une croyance, battue en brèche par de nouvelles découvertes sur la conscience : Des scientifiques disent que notre cerveau serait une sorte d’antenne capable de capter d’autres réalités, comme un poste de radio capte les stations.

Nous sommes câblés pour nous connecter à des dimensions spirituelles : sentir les esprits des morts, nous souvenir de vies antérieures. Nous n’avons juste pas appris à le faire.

 

-Quand vous avez fait cette retraite, attendiez-vous une révélation quelconque ?

-Non. Je voulais simplement faire un point sur ma vie. Pour cela, il fallait redevenir disponible à soi-même par l’ennui.

Sans mail, ni téléphone ni lecture. Dans le silence, dans des instants de fragilité, peut émerger un vrai face-à-face avec soi.

Cela peut commencer en consacrant quinze minutes par jour à ne rien faire, à s’écouter respirer, à ne pas «accrocher» ses pensées. Ce qui permet de dire à son inconscient: «je suis disponible si tu as un message à m’envoyer». C’est ce qui s’est produit pour moi.

 

-Chacun d’entre nous a-t-il la capacité d’entrer en contact avec le monde invisible ?

-Oui. Notre corps est composé de millions de capteurs. Il ressent l’énergie des lieux, ce que «dégagent» les gens.

Ne dit-on pas : «celui-là je ne le sens pas !», «cet endroit me donne la chair de poule !»

Notre intuition s’exprime à travers notre corps plutôt que par notre mental. L’entrainement permet d’apprendre à discerner le vrai du faux.

 

-Vous n’avez jamais douté de votre expérience avec cet Alexander Herrmann ?

-Je suis journaliste, je doute constamment. Ce n’est que l’accumulation de faits vérifiés et avérés qui m’ont convaincus que cette histoire était réelle. Cette scène apparue dans ma vision est encore d’une vivacité extraordinaire.

 

-Remonter jusqu’au lieu de sa sépulture vous a-t-il aidé à guérir d’Alexander ?

-Voir sa tombe a permis le démarrage du processus de guérison qui se poursuit encore aujourd’hui.

Toute cette expérience m’a en outre révélé combien les vivants peuvent guérir les morts.

Je porte la capacité de guérir cet homme en même temps que je me guéris. Je me suis libéré de son héritage.

 

Une force inconnue me poussait devant sa maison alors que je ne savais pas où il habitait

Stéphane Allix

-Un changement salvateur s’est opéré en vous ?

-Quand vous comprenez l’origine d’une douleur, ça ne la fait pas disparaître mais ça l’atténue. Je me sens plus léger. La mémoire d’Alexander est celle qui avait laissé le plus de blessures en moi.

 

-Est-ce que ça vous a donné envie d’être le canal d’autres mémoires ?

-Non, ça suffit, d’autant que je n’ai pas commandé cette rencontre.

 

-Avez-vous vu un psychothérapeute tout au long de l’enquête ?

-Oui, dans plusieurs disciplines allant de la psychanalyse pure à des approches plus «extraordinaires» comme le soin énergétique, la médiumnité, ou encore le Feng-shui avec Marie-Pierre Dillenseger, maître en la matière, qui m’a permis de décrypter grâce à l’outil de l’astrologie chinoise, la nature subtile de mes liens avec cet homme.

 

-Est-ce qu’Alexander vous a donné l’ordre de réhabiliter sa mémoire ?

-Non, il n’a jamais été impératif. A aucun moment, il n’a pris les commandes. Ce dialogue permanent entre mon intuition et les faits historiques m’a permis de comprendre quel était son parcours. Il m’a guidé par une communication non verbale mais émotionnelle.

 

-Il est une mémoire ou une présence en vous ?

-Les deux. Pendant mon rêve éveillé, je le percevais alternativement hors de moi et comme si j’étais en lui.

Je me souviens de son regard que j’ai reconnu sur la photo, retrouvée à la fin de l’enquête. Un regard à la fois moqueur et intrigant.

Je l’ai aussi senti en moi physiquement à travers ses émotions. Quand je marchais dans la rue de la ville de naissance de sa femme, je le sentais fier dans son uniforme; quand une force inconnue me poussait devant sa maison alors que je ne savais pas où il habitait; quand, en Russie, je me suis arrêté pile à l’endroit où il est mort.

Lui a disparu mais c’est comme si un souffle était passé dans son âme et vivait à travers moi.

Alexander n’est pas moi, je ne suis pas lui. Mais nous sommes traversés par le même courant éternel. Ma vision de la réincarnation s’est affinée.

 

-Expliquez-nous…

-A l’intérieur de notre être réside une âme éternelle qui a déjà vécu mille vies et en vivra mille autres. Mais jamais avec le même visage ou sous la même identité.

Cette part éternelle en nous porte les émotions, les traumas, les souvenirs des vies antérieures. Ce sont des mémoires.

Celle d’Alexander Herrmann est apparue en moi pour que je la guérisse.

Mais j’ai certainement eu d’autres vies, plus paisibles celle-ci, qui n’ont pas besoin d’être guéries.

 

-Vous disiez que vous vous sentiez mieux...

-Oui. A la fin de l’écriture, j’ai réalisé que je m’étais débarrassé d’un cauchemar récurrent. Que je commençais une nouvelle vie à l’approche de mes 50 ans.

 

- Aujourd’hui, que vous a-t-il laissé en héritage ?

- Je suis sorti de ce tourbillon de confusion, de colère et de tristesse dans lequel je baignais à cause de lui. Maintenant, il est reparti dans le passé. Ce qui nous liait a été rompu et nettoyé.

J’ai le sentiment que mon enquête puis l’écriture m’ont guéri d’un traumatisme «karmique».

La psychologie reconnaît le poids des traumatismes trans-générationnels. Je pense qu’il faut y ajouter ceux de nos vies passées.

Comme si un traumatisme qui laisse une trace dans le corps, s’imprimait également dans la psyché.

Conséquence, lorsqu’elle se réincarne, l’âme conserve l’empreinte de ce traumatisme. C’est mon cas.

 

Nous ne sommes pas que des êtres biologiques à l’existence autonome. La réalité ne se limite pas à notre corps

Stéphane Allix

-Vos proches ont-ils trouvé que vous aviez changé ?

-Ma femme me connaît depuis près de 20 ans et ma souffrance lui était incompréhensible car nous avons une vie plutôt heureuse.

Après cette expérience, l’écriture de ce livre et ma guérison réelle du passé, elle a constaté que quelque chose de fondamental avait changé.

 

-Quel est votre message ?

-Nous ne sommes pas que des êtres biologiques à l’existence autonome.

La réalité ne se limite pas à notre corps.

Comme le disait Pierre Teilhard de Chardin, «nous sommes des êtres spirituels faisant des expériences humaines».

Je vois chaque être humain comme un point de convergence spirituel, un «lieu» où se rencontre une histoire biologique et une aventure karmique. Le croisement d’une lignée familiale avec une succession de vies antérieures.

Il appartient à chacun de nous de faire naître la lumière de l’ombre qui nous habite.

 

-Avez-vous été aidé par des forces supérieures dans cette quête ?

-J’en suis convaincu. On n’est pas tout seul aux commandes. Des anges gardiens, des alliés nous accompagnent en permanence et nous guident. Ils mettent des obstacles sur notre parcours, destinés à nous faire comprendre des choses.

Parce que la vie n’est pas juste une succession de moments marrants ou d’épreuves absurdes. Elle est un espace d’apprentissage qui possède une dimension spirituelle.

Je l’ai constaté dans mon cheminement cartésien et rationnel. J’ai écrit «Le test» pour montrer qu’il nous est possible de nous connecter à nos défunts. Ce n’est ni surnaturel ni magique, c’est une autre facette de la vie.

Pour l’atteindre, il faut juste débrancher son mental.

 

-Quel est le sens de la vie, selon vous ?

-Etre capable d’utiliser nos épreuves comme des outils pour mieux se connaître.

Cela dissipe en nous la confusion, dissout nos peurs, guérit nos colères, apaise nos angoisses, accroît notre lucidité sur la manière dont nous agissons.

Et, lentement, on devient un meilleur être humain, pour soi, comme pour les autres.

Moins esclave de nos émotions, nous gagnons en liberté et en bien-être.

Alors essayons !

 

Source : Paris Match | Publié le 19/10/2017 à 19h36 |Mis à jour le 20/10/2017 à 11h55. Interview de Stéphane Allix réalisé par Isabelle Léouffre

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Si vous aussi, vous avez l'impression que, dans cette vie-ci, votre âme a conservé des mémoires de vies passées et que vous aimeriez vous débarrasser de ces mémoires, je vous propose de lire cet article.

 

Relayé par René Dumonceau.

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