Un Voleur Dans La Nuit
Dieu a dit :
Il est temps pour les douleurs et les peines dans votre coeur de partir. Faites-leur vos adieux. Dans quel but avez-vous besoin de douleurs perpétuelles dans votre coeur ? Pour quelle raison possible garderiez-vous une douleur proche de votre coeur, comme pour la mettre à l’abri ?
Ne faites plus perdurer la douleur. Laissez la douleur s’écouler. Excusez-la de sa présence. Donnez-lui congé, ou congédiez-la carrément. Vous n’avez pas à la garder.
Je vous dis haut et fort que vous n’êtes pas sur Terre pour souffrir. Vous ne méritez aucune punition. Il est recommandé que vous laissiez aller toute peine et punition que vous vous êtes imposées.
Cette angoisse dans votre coeur est si vague, vous ne savez même pas d’où elle vient, pourtant vous la portez avec vous, et vous y retournez encore et encore. Vous la gardez tout près sans aucune raison valable.
Même après un moment de grande joie, vous retournez à l’anxiété indicible. Peut-être recouvrez-vous l’anxiété avec une activité rapide afin de ne pas avoir à la ressentir. Vous versez de l’activité sur votre anxiété pour l’enfermer comme si vous placiez des rochers dessus pour la réfréner. L’anxiété étreint votre coeur ainsi, et malgré tout vous la tolérez. Tous les rochers du monde n’enferment pas l’anxiété et l’angoisse. Elles continuent de s’accrocher à vous comme si elles étaient désespérées et ne pouvaient pas exister sans vous. Cela est vrai. Elles ne peuvent pas exister sans vous comme bouc émissaire. Où existerait cette douleur si vous ne lui teniez pas compagnie ?
L’anxiété s’agite dans votre coeur comme un dragon. Elle vous consume. Les addictions ne la chassent pas. Êtes-vous accros aux blessures auto-infligées ?
L’anxiété semble détenir cette place dans votre coeur et ne va pas vous laisser en paix, ni sa soeur, l’angoisse. A quoi ressemblerait la paix si ces parasites vous laissaient tranquilles ?
Vous avez stocké de la détresse et avez restreint les battements de votre coeur. Je vous ai donné votre coeur pour qu’il batte librement. Je n’ai pas harnaché l’anxiété. Qui l’a fait alors ? Qui a harnaché l’anxiété et l’angoisse et leur a dit de se mettre à l’entretien ménager dans votre coeur et, donc, d’entraver votre joie par la force ? Laissez l’amour dans votre coeur, pas la restriction.
L’anxiété est un boa-constrictor. Votre coeur est fait pour des embrassades non pas pour la restriction. Vous avez essayé de vous échapper de ce serpent qui vous serre le coeur jusqu’à la défaite. Vous avez un coeur très solide qui supporte l’anxiété dévastatrice. Le constrictor veut presser votre souffle hors de vous.
Vous pouvez avoir porté cette anxiété comme un corset ou un froncement sur votre visage.
Pourquoi ne semblez-vous pas laisser aller ?
Voilà ce qu’il faut faire :
Souriez pour qu’elle sorte hors de vous. Ne lui prêtez pas tant d’attention. Ne vous échappez pas d’elle en courant. Ne vous cachez pas d’elle. Simplement ne lui donnez pas le temps du jour. Profitez de la vie malgré le fait que l’anxiété porte son attention sur vous. Ignorez cette sangsue. Elle a pris assez de votre vie. Ne lui en donnez plus. Remplacez l’anxiété par la conscience.
Versez plus d’amour sur votre coeur. Alors ce monstrueux imbécile montera sur les vagues d’amour et dérivera au loin. Peut-être que l’anxiété s’assèchera au soleil. Une chose dont vous pouvez être sûrs : Vous n’avez besoin d’aucun attachement qui veuille tirer la joie hors de vous. De telles plaies répétées n’ont pas à se saisir de vous. Tout cela n’est pas le droit de l’anxiété. C’est le tort de l’anxiété. L’anxiété est un intrus, un voleur dans la nuit qui détruit votre joie, empêchez-la, débarrassez-vous-en.
Balancez cette anxiété. Quelle profiteuse. L’anxiété est étendue là dans votre coeur. Elle pose ses pieds sur un guéridon et fume un cigare et jette les cendres sur votre magnifique coeur. Une fois que ce fauteur de troubles, l’anxiété ou l’angoisse de son nom, met son pied dans la porte, elle refuse de lâcher prise. Elle ne va pas vous abandonner, alors vous devez l’abandonner. Donnez à ce vautour l’ordre de partir. Elle n’est pas bonne pour vous. Congédiez-la. Elevez-vous au-dessus d’elle. Vous pouvez le faire. C’est à vous de le faire. Je vous aiderai.
Dès maintenant, commencez à devenir la lumière du coeur et de nouveau libre.
Traduit et publié le 22/08/2015 par Anaïs Cabanes :
Page originale: http://www.heavenletters.org/
Je relaie sur mon blog des articles dont le contenu m'intéresse et me parle.
Mais.... N’oubliez pas, utilisez toujours votre discernement par rapport à ces textes.
Vous avez un Libre-Arbitre, alors utilisez-le et surtout, écoutez ce que vous dicte votre coeur. Lui seul détient la vérité, laissez le vous guider.
Coeurdialement.